À propos de Ce que dit le poème de Abdul Ghafour Al Khatib à retrouver dans nos publications |
À propos de Souvenances marines de Jean-Marie Gilory à retrouver dans nos publications |
À propos de Maïlélia ou Eurydice retrouvée de Luc Vidal à retrouver dans nos publications |
À propos de Le ciel était immense de Jean-Claude Albert Coiffard à retrouver dans nos publications |
À propos de Le jardin m'ouvre ses portes de Marie-Françoise Hachet - de Salins à retrouver dans nos publications |
A propos de Féerique fougère de Christine Guénanten à retrouver dans nos publications |
A propos de Il y aura de Jean-Claude A. Coiffard à retrouver dans nos publications |
A propos de Le dit des jours de Jean-Claude Grasset à retrouver dans nos publications |
A propos de La loire et le calme de Rémi Deroure à retrouver dans nos publications |
A propos de Hortus apertus, Album amicorum et Vale réunis dans Bérît Diatéké de Marie-Laure J. Herledan à retrouver dans nos publications |
A propos de Memo(r) de Séverine Pirovano à retrouver dans nos publications |
A propos de Une troisième personne du singulier de Eric Simon à retrouver dans nos publications |
A propos de Comme un bouquet de fleurs mouillées de Pierre Tanguy à retrouver dans nos publications |
La douceur en recours
Pierre Tanguy emprunte le titre de son livre à un vers de René Guy Cadou, hommage pour le centenaire de la naissance de ce dernier. Habituellement fidèle à la brièveté du haïku, il laisse ici son poème se déployer au gré des sensations dictées par le paysage traversé par les saisons. La concision reste toutefois la marque de cet ensemble. En trois parties qui cheminent de la contemplation à la mélancolie, Pierre Tanguy entre en symbiose avec la nature et « s’abreuve des dégradés de vert / surgissant des bosquets ». Fin observateur, il capte l’empreinte des instants fugitifs par petites touches délicates à la manière d’une estampe. Au plus profond de « la douloureuse expérience d’être », à la fois ébloui et nostalgique, il puisse dans le monde végétal de quoi « prendre le chagrin à rebours ». Quand le cœur « en charpie » est en proie à « l’inconsolable », ses mots simples et concrets ont la ressource « d’appeler la douceur au secours ». La consolation naît du bruissement du monde. « Ce vent et ce vert / pansent la douleur ».
Marie-Josée Christien
La douceur en recours, Revue AR MEN, septembre-octobre 2020
A propos de En ma mémoire obscure de Jean-Claude Albert Coiffard à retrouver dans nos publications |
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A propos de Me voilà rue Louis Blanc de Stéphane Lorit à retrouver dans nos publications |
A propos de La lampe d'un damier suivi de En quatre ou cinq poèmes de vives voix de Eric Simon à retrouver dans nos publications |
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A propos de L'eau de la grève est si bleue de Jean-Pierre Boulic à retrouver dans nos publications |
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A propos de Racines et fragments de Claude Serreau à retrouver dans nos publications |
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